Observations sur la nature et le traitement des maladies du foie / par Antoine Portal.

Date:
1813
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Credit: Observations sur la nature et le traitement des maladies du foie / par Antoine Portal. Source: Wellcome Collection.

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    CESOPHAGE. — Comprimé par le foie et prolongé dans le bas-ventre, 43* OMBILIC, Voy. iVoTOén/, 119. - OPIUM. D’autant plus calmant dans la colique hépatique , qu 1 y a moins •Je fièvre et de pléthore sanguine, 193. - Circonstances où il peut nuire à l’ex- crétion de la bile et des calculs biliaires,. 194- - Nuisible dans les afluctions du L'oie ; en quels cas ? 26, 216. - Quand peut-il être prescrit dans la jaunisse. 162 ; .dans les douleurs de coliques hépatiques, 192 , 198 , etc, OS (du tronc). — Leur déviation peut occasionner des diflérences dans la ;-situation du foie, 54. - Les os, en général, peuvent acquérir une teinte jaune, iai5, 122, ï52 , i56. J r- J OSSIFICATION des membranes du foie, de la vésicule du foie, desvais- 'seaux sanguins, ao5. t r /nt \ 17 nie» OVAIRES. — Plein de matières gélatineuses, loo. (Voy. Z06s.) — Exemp :rtmarquable d’une hydropisie de cet organe, 607. OXYMEL. — Simple et scillitique , utilement prescrit dans quelques obstriic- I lions du foie , 63. — Dans un vomissement compliqué d’anasarque, 55o. P. PALAIS ( voûte du ). —Quelquefois très-jaune chez les personnes atteintes de maladies du foie ,47- • • • rq PALPITATIONS [du coeur). — Fréquentes dans la phthisie hépatique , 2»». — Avec jaunisse, avec dilatation de l’oreillette droite , du ventricule droit et de îa veine-cave, etc., iSy. — Reconnaissent presque toujours pour cause un engor- gement sanguin du foie, 67- PANCRÉAS {les aÿections cZm). — Peuvent occasionnerlaphthisiehépatique, le pancréas, la jaunisse, pourquoi ? i53, 288. — Peut être le siège de calculs dans certaines coliques, qui ont l’apparence des coliques bilieuses, 214. — Ses canaux excréteurs pleins de sang dans une hématémèse, 55i , 552. (Voy. les Obs^) PANCRÉATIQUE {le suc). — Tempère l’âcreté de la bile, 71. PARALYSIE du foie, ^7. — Peut donner lieu à des concrétions bilieuses, 85,86. PARENCHYME ( du foie). — Doué d’une grande sensibilité, 17. (Voy. les Obs. 1 à 10.) PATIENCE. La décoction ou l’extrait de sa racine utile dans quelques en- gorgemeus du foie, 60. (Voy. les Obs.) PEAU. Ses maladies souvent occasionnées par des affections vicieuses du foie, 48 , el réciproqueraeut cause de phthisie hépatique, 287. — Jaune dans les fièvres bilieuses, 198. — Plus ou moins terne dans les fièvres malignes, 199; dans la phthisie hépatique, 288. — Jaune quelquefois dans l’inflammation du foie et dans la jaunisse, i33,269. — Son état doit être pris en considération, dans^le traitement de la diarrhée, 566 5 dans le traitement des maladies de la peau, 356. PERICARDE. — Très-ample, 5oo, —Vide de sérosité. Adhérent au cœur. (Voy. Cœur.) PERITOINE. — Atteint de putréfaction , 3. (Voy. ibid. ) PERITONITE. — Tient moins à l’inflammation du péritoine qu’à cellé des organes qui en sont revêtus, 17.