Thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier, le 2 avril 1841 / par Corvin A. Olszewo Olszewski, Alphonse-Jean-Nepomucin-François.

  • Corvin A. Olszewo Olszewski, Alphonse-Jean-Nepomucin-François.
Date:
1841
Catalogue details

Licence: Public Domain Mark

Credit: Thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier, le 2 avril 1841 / par Corvin A. Olszewo Olszewski, Alphonse-Jean-Nepomucin-François. Source: Wellcome Collection.

Provider: This material has been provided by The Royal College of Surgeons of England. The original may be consulted at The Royal College of Surgeons of England.

    45/50 (page 45)
    telles sont les palmiers et les conifères ; p. ex. Bala- nie , et le magnifique cierge du Pérou (cactus peruvia- nus) : qui implantés sur un sol aride ne pourraient y trouver les matériaux nécessaires à leur nourriture que du reste leurs faibles racines ne pourraient guère saisir. Aussi la surface de leur tige et de leurs feuilles est- elle fort étendue , très-poreuse et pourvue d’un grand nombre de bouches absorbantes , qui puisent dans l’at- mosphère presque tous les élemens de la nutrition. Il existe des racines, des plantes herbacées, dont la tige faible etgrèle meurt chaque année, tandis que les racines fort longues et très-fortes persistent, et sont seules char- gées de continuer la vie du végétal; p. ex. la réglisse , arrête-bœuf, (ononis arvensis). Les racines contribuent donc à la nutrition de la plante, en prenant une partie seulement des matériaux nécessaires à la formation de la sève ou du liquide ré- parateur. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE. Des muscles qui servent à la dilatation de la poitrine. Nous pouvons répondre à cette question que tous les muscles qui s’insèrent au thorax servent plus ou moins à cette dilatation ; car peud’entr’euxont pour effet prin- cipal de fixer le thorax à ses extrémités afin de per- mettre la dilatation des côtes. La plupart contribuent à l’agrandissement du thorax, soit en étendant ces arcs osseux j soit en augmentant la capacité pectorale. Notre but n’est point d’apprécier avec minutie le degré