Chiron the centaur teaching Achilles to use a bow and arrow. Engraving by C. Bervic, 1798, after J.B. Regnault.

[Paris] (Galerie du Muséum No. 12) : Se vend chez Bervic, Enregistrée le XIX Germinal de l'an VI [8 April 1798] ([Paris] : Imprimée par Ramboz)

1 print : engraving ; platemark 57.7 x 41.7 cm

L'education d'Achille. Gravé par Bervic d'après le tableau peint par J. B. Regnault, membre de l'Institut National des Sciences & Arts.

[State with full lettering].

Marcel Roux, Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle. Inventaire du fonds français, graveurs du dix-huitième siècle, Bibliothèque nationale, Département des estampes, tome II, Paris 1933, pp. 473-474, no. 11 ("Cette estampe fut déposée le 19 germinal an VI (8 avril 1798), exposée au Salon de la même année (no. 702) et annoncée au Moniteur le 3 brumaire an VII (3 octobre 1798) : " L'education d'Achille, gravée par Bervic, d'après le tableau peint par J.-B. Regnault... Cette estampe qui, sur le rapport de l'Institut National, a été proclamée par le Directoire exécutif à la fête du 1er vendémiaire an 7 (fête de la Fondation de la République, 22 septembre 1798), se vend 16 francs..." Cette annonce fut répétée dans le Journal de Paris du 23 brumaire. Le cuivre de l'Education d'Achille figurait, avec celui de l'Enlèvement de Déjanire qui lui fait pendant, à la vente après décès de Bervic (no. 204). Quant à l'original, c'est le morceau de réception présenté par Jean-Baptiste Regnault à l'Académie royale, le 25 octobre 1783. L'artiste en avait au préalable soumis l'esquisse à la compagnie le 3 mai précédent. En qualité d'agréé, Regnault envoya cet ouvrage au Salon de 1783 (no. 167). Il l'exposa de nouveau en 1791 (no. 303). "Ce tableau, note Regnault-Delalande en 1822, fait actuellement partie de ceux qui décorent la Galerie du Palais de la Chambre des Pairs." Il est aujourd'hui au Musée du Louvre (no. 466 du catalogue de Villot.)"

Wellcome Collection 2856159i

Forms a pair with a print of the rape of Deianeira by Nessus, engraved by Bervic after Guido Reni