De l'hermophényl et de son emploi pour le traitement de la syphilis : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 26 mars 1904 / par M. Répanis.

  • Répanis, G.
Date:
1904
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Credit: De l'hermophényl et de son emploi pour le traitement de la syphilis : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 26 mars 1904 / par M. Répanis. Source: Wellcome Collection.

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    'porter nos efforts personnels, guide expérimenté, U na pas voulu nous abandonner à nos propres forces; nmis, par ses conseils , il nous a été d'une utilité très pratique dans la rédaction de notre thèse. Pourrions-nous ne pas remercier également M. le Profes- seur Gilis de ses leçons qui nous ont initié aux connaissances anatomique<, hase scientifque indispensable d toute étude approfondie des sciences médicales. Nous remercions vivement MM. les Professeurs agrégés Vedel et Vires pour Vhonne\n' qu'ils nous ont fait cle faire partie de notre jurg de thèse et de critiquer notre travail. Notre reconnaissance ne peut que s'étendre encore à M. le Professeur Granel qui, par son amabilité de tous les instants, s'est attiré toute notre affection. Il nous conviendrait moins encore d'oublier M. le Professeur Flahaut, en qui nous avons trouvé plus qu'un Maître, presque un père. Si son dévouement connu pour les étudiants étran- gers le recommandait déjà à notre affection , notre grati- tude pour lui est d'autant plus profonde que , après nos deux frères , nous avons bénéficié de ses délicates attentions. C'est donc en leur nom comme au notre que nous tenons, à l'heure de la séparation , à lui marquer toute notre reconnaissance. Nous n oublierons pas davantage de remercier MM. les Pro- fessêurs Grasset, Tédenat, Forgues , Estor, Vires , Vedel, Raynaud, Vcdon , Jeanbrau , Imbert, Puech, en raison des profits que nous avons retirés de leur enseignement. Je dois assurer mon ami Sarradon, interne des hôpitaux de Monpellier, qui a bien voulu nous aider de ses conseils dans notre travail, de ma profonde sympathie et de mon *K)uvenir fidèle. Nous n'aurions garde d'oublier l'amabilité et l'obligeance de Mme Daumas, en laquelle nous avons rencontré une vraie famille. Que de soins n a-t-elle pa< pris pour nous et que de fois nous a-t-elle encouragé dans nos moments critiques. NoiF hnen sommes profondément reconnaissant,