Thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier, le 26 mars 1841 / par César Provençal.

  • Provençal, César.
Date:
1841
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Credit: Thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier, le 26 mars 1841 / par César Provençal. Source: Wellcome Collection.

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    devoir ranger la luxation, la fracture, le kyste osseux, l’exostose, le fongus hématode ,- l’ostéo- sarcôme , la carie et la nécrose. Bien que les maladies des dents, à la rigueur, ne rentrent point dans la classe des maladies du maxil- laire inférieur, attendu qu’elles sont autant du domaine de la pathologie du maxillaire supérieur, nous avons cru néanmoins devoir en parler, parce que l’ostéologie du maxillaire inférieur comprend l’étude des dents, et que celle de quelques-unes de ces maladies, la carie de la racine des dents par exem- ple, peut éclairer le diagnostic de celles du maxil- laire inférieur, la carie de celui-ci entre autres, avec laquelle il arrive souvent de les confondre. PREMIÈRE DENTITION. — partie physiologique. C’est dans le travail physiologique qui survient tour à tour dans divers organes à l’époque de leur développement, que l’on trouve l’explication de ces phénomènes pathologiques qui se succèdent dans la tête, la poitrine et l’abdomen, selon les âges. Chez l’enfant qui vient de naître, le cerveau forme à lui seul la plus grande partie du corps. Cet état de choses cesse, il est vrai, à la naissance ; mais l’équilibre dans le développement des parties n’est pas encore rétabli, que surviennent à la fois et le travail physiologique de la dentition, et le travail cérébral par lequel l’homme intellectuel et